François Hollande à Créteil au milieu des spotifs

Publié le par FC 94

Dans le cadre de la campagne des élections présidentielles, François Hollande a souhaité réunir l'ensemble des acteurs du sport.

Cette rencontre se déroulera en Val-de-Marne,

le samedi 11 février

à 18h à Créteil

Palais des sports Robert Oubron

 

La Fédération du Parti socialiste du Val-de-Marne convie le plus grand nombre à ce moment d'échange qui permettra à François Hollande de présenter "une ambition pour le Sport français".

 

 

 

Toute la journée, a filé la métaphore sportive pour parler de politique ! « Il y a des défaites qui font penser qu'il y aura prochainement des victoires, s'est amusé le candidat. On a connu des défaites qui annoncent la victoire qui arrive ». Le en déplacement à Toulouse puis à Créteil en banlieue parisienne, a affiché une certaine sérénité.

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 Toujours placé très haut dans les sondages devant , il a dévoilé une longue liste de soutiens dans le monde sportif. Tous se sont déplacés pour entendre ses propositions dans ce domaine, dont la création d'un grand ministère des sports.

Parmi eux, Roxana Maracineanu (ex-nageuse), Serge Simon (ex-rugbyman), Olivier Krumbholz (entraîneur de handball), Gwendal Peizerat (danseur sur glace), Joël Abati (ex-handballeur), Pape Diouf (ancien président de l'OM), Danny Rodrigues (gymnaste), Cécile Nowak (judokate), Arnaud Willig (gymnaste), Amélie Goudjo (capitaine de l'équipe de France de handball), Frédérique Jossinet (judokate) ou encore Vikash Dhorasoo (ex-footballeur).

Interrogé sur l'idée de référendum sur les chômeurs et les étrangers lancée par Nicolas Sarkozy, François Hollande n'a pas été plus doux que François Bayrou et Eva Joly qui se sont aussi exprimés sur ce thème dans l'après-midi de samedi. «Il n'est jamais utile pour un président sortant qui est en échec de s'en prendre aux plus fragiles», a-t-il déclaré, considérant que «ce n'est pas ceux qui sont les victimes qui doivent aujourd'hui être les responsables».
L'occasion pour lui de revenir sur la stratégie du chef de l'Etat qui n'est toujours pas officiellement candidat. Selon le socialiste, le chef de l'Etat est candidat «depuis son élection en 2007» et «en campagne depuis ses voeux». «Est-ce un président qui est allé à Fessenheim parler de politicaille, qui s'est adressé à des ouvriers pour parler du programme de ses concurrents ? Il n'y a pas de doute pour les Français, pas de surprise par rapport à l'acte de candidature», a-t-il confié dans la matinée à Toulouse. 

http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/demonstration-de-force-de-hollande-chez-les-sportifs-11-02-2012-1856849.php

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